Né d'une famille de guerrier, tu a du sang de Samouraï qui coule dans tes veine, tu étais destiné à devenir un grand combattant. Bien malheureusement, tes parents perdirent vie lorsque tu n'avais que sept ans. Il ne te restais plus que ta grande sœur, Mitsu Sōji, comme seule famille. Sans résidence et sans revenue stable, ta sœur n'arrivait plus à vous faire survivre convenablement. Elle a donc décidée de te confier au dojo Shieikan dirigé par Isami Kondō. Officiellement, tu étais un élève à cet école, mais tu étais plus traité comme un esclave par les élèves plus vieux. Étant très renfermé sur toi, tu ne te plaint pas aux supérieurs. Tu servais également à l'entrainement des autres, te faisant constamment frapper et blesser. Ceci fini par être découvert par Kondō-san qui avertit aussitôt les autres élèves, cela ne résultât qu'à plus d'animosité à ton égard.

Kondō se souciait beaucoup de toi, tu finis par t'ouvrir à lui et à lui raconter comment tu te sentais trahis par ta famille, mais lui te fit comprendre que rien n'arrive pour rien dans la vie. Ta vision des choses changeât grâce à lui, mais tu continuait d'en vouloir à Kondō-san d'avoir avertit les autres élèves, tu pensait ne pas avoir besoin d'aide, c'était tes affaires après tout.

Un jour, un tournois fût organisé au dojo. Malgré ton jeune âge, tu décidas de participer. Alors qu'au premier coup reçu sur la tête tu te mis à saigner. Kondō cherchât à stopper le match, mais tu n'y entendais rien. Tu finis par montrer ta supériorité en gagnant le combat et Kondō dût t’arrêter pour ne pas que tu t'acharne sur celui qui te martyrisais jusqu'alors. C'est à ce moment que tu compris que la raison pourquoi tu étais dans ce dojo, c'était pour suivre Kondō-san. Avec les années tu devînt un des meilleur sabreur du dojo, tu étais la fierté de cet endroit et tous te respectait.

Tu restas toujours aupràs de Kondō-san et Hijikata-san, tu vécu la création du Roshigumi avec Serizawa-san. La création du Shisengumi, ta nomination en tant que chef de la première division. Tu fus actif durant toute ses années, toujours loyal envers tes deux chefs. Hélas, tu contractas la tuberculose qui, de plus en plus, te clouas au lit. Un jour, Nagumo Kaoru vînt te visiter et t'apportât cette fiole rouge, l'Ochimisu qui transforme l'être humain en Rasetsu, en démon incomplet. Bien sur tu refusas d'en boire même s'il te disait que ça guérirait ta tuberculose et que tu pourrais enfin redevenir utile au Shinsengumi. C'était un dur dilemme... Dans ton état actuel, tu ne pouvais plus rien faire concrètement, trop affaiblit par la maladie qui te rongeait de l'intérieur.

Afin de pouvoir protéger ceux que tu aime, tu n'eu le choix de prendre cette substance afin de devenir une Rasetsu. Tu acquis des pouvoirs te rendant capable de te battre, mais il t'avait trompé : cela ne guérissait en rien la tuberculose... Il c'était bien joué de toi !  Quand tu était prit de cette rage de combattre, tu pouvais bouger à ta guise, mais ta maladie te rattrapait encore et toujours bien malheureusement. Une fois que tu appris la mort de Kondō-san, pris de rage tu voulus t'en prendre à Hijikata... Mais vite ramené à la raison par Chizuru-chan, tu partis seul méditer... C'est à ce moment que le sommeil te prit, tu ne savais pas à ce moment là que tu ne reverrais plus jamais ce monde...

Bonne question, n'est-il pas ? En général, on peux dire de toi que tu cherche à agir pour le bien du peuple, mais surtout pour le bien du Shinsengumi, le groupe dont tu fait parti depuis sa création et qui lui travail pour protéger le peuple, on peut donc dire que les bonnes actions que tu commet sont au nom du Shinsengumi et non de ta propre volonté. Tu te soumet aux règles imposées par la société et par Kondō-san, mais tu n'as aucun scrupule à en enfreindre certaines en cachette lorsque c'est nécessaire au bien commun. Maintenant que tu es dans ce nouveau monde, il n'y a plus de Shinsengumi ni de Kondō-san... À quoi consacrer ta vie désormais ? Jusqu'à temps de trouver une réelle motivation, tu va tenter de te faire discret en respectant les règles en apparences, mais tu ne promet pas d'agir toujours selon elles. L'alignement Neutre bon - ou bienfaiteur - te convient bien pour le moment.

Dans ce nouveau monde ? Une motivation ? À quoi bon... Le Shinsengumi n'existe pas ici, Kondō-san est mort désormais, tout ce que tu pouvais encore faire était de protéger Hijikata-san, lui qui représente désormais le Shinsegumi ainsi que les rêves de Kondō-san. Mais tu n'est plus dans ce monde, tu ne peux plus vouer ta vie à eux. Que faire maintenant ? À quoi vouer le reste de ton existence ? Présentement, tu n'en sais rien. Peut être trouveras-tu un autre homme, une autre organisation, qui mérite que ton dévouement le plus total ?

Ton point fort ? Eh bien, on peux dire que tu impose le respect autant à ceux qui te connaissent qu'aux parfaits inconnus. Tu donne toujours l'impression de maîtriser la situation, d'être maître de toi-même. Tu semble menaçant, et ce n'est pas qu'une allure : tu est dangereux. Ta maîtrise de ton sabre est exemplaire, tu n'es pas le meilleur sabreur du Shinsengumi pour rien après tout. Pour ce qui est de ton point faible, même si jamais tu ne l'afficheras au grand jour, c'est ta maladie qui te rend faible et qui peut imposer son pouvoir sans avertir n'importe quand. Il y à également le fait que tu sois devenu une de ces saleté de Rasetsu ... Oui, cela t'accorde plus de puissance, mais en contre-partie tu es devenu un être à moitié démoniaque... Cette rage de sang se fait sentir inévitablement à chaque nuit, tu te retiens pour ne pas tuer uniquement pour rassasier cette envie... Cela te cause des troubles inimaginables.

Tu es totalement dévoué à Kondō Isami, motivé et travaillant, il est le chef du Shinsengumi admiré de tous. Cet homme généreux, souriant et conciliant t'a accepté dans son dojo alors que tu n'avais que neuf ans, orphelin et abandonné par ta sœur. Alors que tu étais seul, lui t'a recueillis et même entraîné. Tu le considère un peu comme un père. Il a été là pour toi, pour t'écouter et te réconforter. Tu lui dois beaucoup et tu serai prêt à mourir pour cet homme valeureux à qui tu dois absolument tout ce que tu es.

Ce que tu aime ? "J'aimerais te tuer" serait surement ce que tu répondrai à quelqu'un qui te demanderait ça... Même si, dans les faits, tu ne le ferais surement pas, pas pour si peu, juste histoire de le déstabiliser et de t'amuser. Tu aime taquiner, rigoler, mais ton plaisir n'est souvent pas partager car il prend sens dans le désaroi d'autrui. Mais malgré tes allures sadiques, tu aime jouer avec les enfants. Culinairement, tu aime ce qui est vraiment épicé et très goûteux, car ta tuberculose affecte ton sens du goûts malheureusement... Pour ce qui est des endroits, tu aime autant les lieux calmes qui te permettent de relaxer que les endroits bondés qui te permet de bien te divertir avec la population.

Certain te considère comme un psychopathe, ce qui est plus ou moins vrai. Tu idolâtre Kondō-san et tu es prêt à tout pour son bien, quitte à détruire le bonheur et la vie d'autrui. D'autre dise de toi que tu es sadique également, cette affirmation est vrai également. Tu prend plaisir à faire souffrir ceux qui le mérite, à lancer des menaces à tout va. Mais derrière cette couche de froid et de rudesse se cache un bon fond, une loyauté sans faille. Tu aime glander des informations secrètement, les garder pour toi et t'amuser à voir comment les choses vont se dérouler, tu aime être un spectateur des scènes comiques, des bagarres, juste pour voir ce qui va se passer : tu interviens très rarement dans ce genre de situation, mais si on te provoque tu réplique avec joie.

"Oh ! Je ne savais pas que tu tenais tant que ça à mourir" serait la chose que tu lui dirait d'un ton moqueur. Et si on te laissait faire, c'est surement ce que tu ferais. Néanmoins les autres gens du Shisengumi ne sont pas totalement en accord avec cette affirmation la plupart du temps, excepté si l'affront est trop grand. Tu n'est pas "sévère" mais plutôt... drastique dans les mesures à prendre. Tu laisse la discipline à Hijikata-san, lui qui s'y prête plus que toi pour réprimander les gens. Si on te laissait gérer les punitions, il n'y aurait plus grand survivant dans le groupe de toute façon.

Si tu te compare à certain être de ce nouveau monde, tu n'a pas de pouvoirs extra-ordinaire... Tu n'as pour toi que ton sabre qui, de plus, te semble moins familier depuis ton réveil ici... Comme si tu avais perdu la maîtrise de cette arme qui se doit d'être le prolongement de ton âme, elle se fait cependant plus distante. Il y à cependant ton coté Rasetsu qui peut te conférer des "pouvoirs" bien malgré toi, tu regrette amèrement ce choix d'ailleurs... Mais grâce à ça, ta capacité de régénération est décuplé et ta force et ta vitesse sont grandement bonifier quand tu te laisse aller à tes pulsions.

Par malignité de fortune, tu es atteint de la maladie de la tuberculose. Tu as tout fait pour tenter de cacher ce fait à tes amis, mais tu te sentais faiblir de plus en plus malgré tout. Il n'y avait rien pour traiter cette maladie dans l'époque où tu vivais et cette maladie était synonyme de mort. D'ailleurs, cette maladie t'enlève progressivement ton sens du goût, tu te tourne donc vers les plats les plus épicés que la majorité des gens n'oserait même pas approcher, histoire de pouvoir goûter quelque chose, au grand malheur de ta compagnie quand tu es celui qui prépare les repas.